PROJET

Déesses de la nature

Installations éphémères itinérantes …

Il y a une relation sacrée entre la femme et la nature. Ces déesses n’ont pas de noms. Elles sont porteuses d’intentions, de prières, de voeux ou de bénédictions envers la Terre Mère.

Ces installations sont des prières rendues visibles. Quelques unes des pensées qui accompagnent mon processus sont le maintient de la santé des écosystèmes, la protection de la faune, flore et des espèces menacées et la restauration de zones détruites ou polluées.

 

Où il y a de l’AMOUR, il y a de l’ACTION.

« Éveline Gallant-Fournier exprime, elle aussi, la spiritualité par l’utilisation d’images symboliques. Ses oeuvres, qui explorent l’identité du corps et de la terre, font allusion à la sagesse des religions matriarcales de la préhistoire, au contenu mythique et rituel antique lié aux cycles de la vie et de la mort et à la fertilité de la nature.

« Dans un monde trop industrialisé, urbanisé, commercialisé et modernisé qui est confronté à une crise écologique, l’artiste se fait gardienne de la mémoire, revivifiant les aspects archétypaux de l’inconscient féminin. À travers son art chamanique, elle montre comment la terre nous parle et nous enseigne, à condition de bien vouloir l’écouter, révélant ainsi la fausse dichotomie entre nature et culture et le caractère sacré qui se cache dans toute forme de vie. » – Terry Graff, Director/CEO and Chief Curator, Beaverbrook Art Gallery (Imagined Dialogues)

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